Programme DOC A TUNIS 2014

Tunis, 2-6 avril 2014


Jeudi 3 avril

Théâtre Municipal
18h30 : Cérémonie d’ouverture

19h: ● El Gort de Hamza Ouni (Tunisie 2013, 77’)



Vendredi 4 avril

Le 4ème art

15h: ● H2O, un enjeu planétaire de Laurence Scarbonchis (France 2008, 52’)

Pesticide, mon amour de Erick Fretel (France 2010, 42’)

17h: ● Nestlé, le business de l’eau de Urs Schnell (Allemagne-Suisse 2012, 90’)

19h: ● La soif du monde de Yann Arthus-Bertrand, Thierry Piantanida, Baptiste Rouget-Lechaire

(France 2012, 90’)

Le mondial

15h30: ● Le sable, enquête sur une disparition de Denis Delestrac (France 2013, 74’)

17h30 :

Adrar, la fin des oasis ? de Stéphane Begoin (France 2009, 52’)

Marine protected areas in the Mediterranean de Jutta Pinzler et Mieke Otto (France 2012, 10’)

19h30 : ● Des abeilles et des hommes de Markus Imhoof ( Suisse 2013, 91’)

Samedi 5 avril

le 4éme art

15h: ● Plastic planet de Warner Boote(France 2011, 95’)

17h: ● Ennajeh de Brave Women de Chiraz Bouzidi (Tunisie 2013, 23’)

Gabès Labès de Habib El Ayeb (Tunisie 2014, 46’)

Forum : Respirer Tue

19 h: ● La Méditerranée, notre mer à tous de Yann Arthus-Bertrand, Michaël Pitiot (France 2014, 90’)

Le Mondial

15h30 : ● Home de Yann Arthus-Bertrand (France 2009, 90’)

17h30 : ● Une histoire de vent de Joris Ivens et Marceline Loridan-Ivens (France 1989, 80’)

19h30 :● Fukushima, le monde après Fukushima de Kenichi Watanabe (France 2012, 77’)

Dimanche 6 avril

Le 4éme art

15h : ● Planète ocean de Yann Arthus-Bertrand (France 2012, 94’)

● Forum : Notre mer est en danger

18h : ● Polluting paradise de Fatih Akin (Turquie 2013, 93’)


Le Mondial

15h30 : ● No gazaran de Doris Buttigno et Carole Menduni (France 2012, 90’)

18h : ● Water, le pouvoir secret de l’eau de Anastasia Popova (Russie 2011, 90’)

Centre culturel el menzah 6

Séance GOODPLANET pour les enfants

11h : ● Océans de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud (France 2011, 103’)

14h: ● Au creux de la vague, (Tunisie, 52’)
16h: ● Gabes, L’oasis et L’usine de Tayeb Louhici (Tunisie, 1983, 28’)

DOC A TUNIS 2012

DOC A TUNIS 2012

  Tunis du 25 au 30 avril 2012  

Il y a sept ans Doc à Tunis voyait le jour et depuis chaque année sans interruption le public a toujours été au rendez-vous. C’est pour ce public passionné, hétéroclite et exigent que ce festival perdure. Doc à Tunis est devenu, avec les années l’implication des cinéphiles et des équipes qui lui ont donné son identité, un rendez-vous incontournable pour les amateurs, les professionnels du cinéma et les producteurs. Jamais le cinéma documentaire n’aura eu l’importance qu’il a eu cette dernière année. Les bouleversements historiques qu’a connu le monde une nouvelle dimension du documentaire s’esquisse.

Jamais le témoignage visuel n’a eu une telle importance. La troisième guerre mondiale sera certainement une guerre d’image. Les télévisions du monde entier ne cessent de diffuser des vidéos et des reportages toujours insuffisamment développés. C’est là que le rôle du documentaire prend tout son sens entant qu’art du réel.

DOC A TUNIS 2013

DOC A TUNIS 2013

Le documentaire, voix du regard, pour faire face au réel

  Tunis du 6 au 12 mai 2013  
Dans un environnement saturé par le flux ininterrompu d’informations livrées en vrac, sans précaution d’usage ni hiérarchie, un festival de films documentaires est un moment privilégié pour prendre du recul et recadrer sa perception du réel. C’est un exercice salutaire d’hygiène mentale qui consiste à affûter son regard et activer son esprit critique pour stimuler la vigilance.

Entre le documentaire et son spectateur, la relation est basée sur une sorte de contrat tacite : il ne s’agit pas de se laisser piéger dans les rets de la fiction, de planer sur les ailes de l’imaginaire pour évacuer, le temps d’une projection, les dures contraintes du quotidien.

DOC A TUNIS 2011

DOC A TUNIS 2011

  Tunis du 20 au 24 avril 2011  

Pourquoi chercher à remplir les salles de cinéma à peine trois mois après la révolution qui a secoué le pays ? Et pourquoi cette urgence alors que nous sommes face à des préoccupations plus vitales ?

Ces questions je me les suis  posées avant de me lancer avec un collectif de cinéphiles dans cette aventure : prendre en main un festival pour une sixième édition qui arrive à un des moments les plus importants de l'histoire de notre pays. En réalité, les problématiques principales auxquelles  je me suis confrontée c'est quelle place pour l'art alors que nous avons vécu dans la vie les plus grandes extases, les plus grands dangers et les plus pures émotions ? Et quelle expression artistique pourra nous faire retrouver l'osmose populaire que nous connûmes dans les rues ? Qu'écrire après tant d'années de violences et de mensonges ? Et quel chant pourra jamais couvrir le bruit des balles qui résonne encore dans nos oreilles ?