Programme de Tunis capitale de la danse 2014

Le Mondial 16h

Michel Kiombo

(R.D Congo

Masu kaino

30’

info: Chorégraphie – interprétation: Michel Kiyombo
Regard extérieur: Faustin Linyekula, Silke Z.
Musique: Shala Mama, Franck Moka /
En vidéo : Yves Mwamba et Djino Alolo Sabin
Lumière: Yafali Elongo
Production: Studios Kabako – Virginie Dupray
Coproduction: Dance Dialogues Africa, Fondation Fédérale allemande pour la Culture (Kulturstiftung des Bundes).
Avec le soutien resistdance, studiotrade network, de l’Akademie der Künste der Welt – Cologne et de l ‘Alliance Française de Kisangani.
Masu Kaino, c’est une malédiction en langue kizimba, « Que le sort jeté soit avec toi des jours et des jours… ». Masu Kaino, c’est une histoire de famille, la mort accidentelle d’un mari en visite chez sa belle famille, une tante folle de douleur qui lance la malédiction, une étrange maladie qui touche les hommes de la famille vers 30-35 ans pour leur prendre peu à peu leurs mouvements, leurs forces, leurs indépendances, jusqu’à la paralysie… Ou danser, se souvenir pour se délivrer…
Biographie Danseur, rappeur, Michel Kiyombo vit et travaille à Kisangani.
Dans le cadre des Studios Kabako, il se forme auprès de Faustin Linyekula et Papy Ebotani, mais aussi auprès d’artistes invités : Hafiz Dhaou (Tunisie), Ula Sickle (Canada-Belgique), Andréya Ouamba (Congo Brazzaville-Sénégal), Boyzie Cekwana (Afrique du Sud) et Sylvain Prunenec (France). En novembre 2011, il est accueilli deux mois par l’association 1er Temps à Dakar pour suivre les ateliers Aex-Corps sous la direction d’Andreya Ouamba et de Keith Hennessy (Canada).
En septembre 2013, Maisu Kano est sélectionnée dans le laboratoire Ecrire ses mondes sous la direction de Faustin Linyekula et Ntoné Edjabe, fondateur de la revue artistique Chimurenga (Cameroun – Afrique du sud). Le projet bénéficiera d’une résidence de création à Cologne au sein de la compagnie Resistdance. En juin 2014, Michel sera l’un des interprètes de Toxu, un projet de Momar Ndiaye (Sénégal) soutenu par le programme Pamoja.

Le Mondial 16h

Catherine Nakawesa

Ougonda

Wekwekule

25’

Le Mondial 16h

Fana Tshabalala

Afrique du Sud

Between us

20’

Le Rio 18h

Hazem Header

Egypte

Inside out

40’

Le Rio 18h

Karima Bledir

Egypte

Point

20’

4^ème Art 19h30

Radhouane El Meddeb

Tunisie

Nos limtes

45’

info: Conception : Alexandre Fournier, Mathias Pilet et Radhouane El Meddeb Chorégraphie & dramaturgie : Radhouane El Meddeb Interprètes : Alexandre Fournier et Mathias Pilet Production : Le CENTQUATRE-Paris Nos limites est une histoire de pulsions de vie et raconte cette capacité à rebondir, à empoigner son corps et sa volonté pour dépasser les souvenirs, à s’en emparer pour mieux les sublimer. Biographie Comédien, chorégraphe, Radhouane El Meddeb est diplômé de l’Institut Supérieur d’Art Dramatique de Tunis.  Il collabore avec Fadhel Jaïbi, Taoufik Jebali et Mohamed Driss, artistes phares du monde arabe. Au cinéma, il joue dans deux films de Férid Boughedir Un été à la Goulette et Halfaouine, l’enfant des terrasses. En 2005, il met en scène et danse son premier solo Pour en finir avec MOI aux Rencontres chorégraphiques de Carthage. Depuis, il multiplie les créations en France, solo Hûwà, Ce lui pour Montpellier Danse 2006. En 2007, il est interprète de 1000 Départs de Muscles, création d’Héla Fattoumi et Éric Lamoureux. En 2008, il signe Quelqu’un va danser... puis conçoit au Centre National de la Danse à Pantin (CND) la performance Je danse et je vous en donne à bouffer.   En 2010, il crée au CND sa première pièce de groupe Ce que nous sommes. Il collabore, ensuite avec Stéphane Gombert pour Chant d’amour, création autour d’un roman et d’un film de Jean Genet. Nommé, en 2011, artiste associé Au CENTQUATRE-PARIS. Il y présente A l’Etroit en collaboration avec l’auteur Philippe Adam. Il met en scène la performance Tunis, le 14 janvier 2011 au Beirut Art center au Liban à l’occasion du Meeting Point 6. En juillet 2012 au festival Montpellier Danse, il crée et danse le solo Sous leurs pieds, le paradis, dont il partage l’écriture chorégraphique avec Thomas Lebrun. En 2012, il chorégraphie le duo Nos limites. En 2014, il crée "Au temps où les Arabes dansaient…" au Festival CDC de Toulouse et au CENTQUATRE-PARIS

4^ème Art 19h30

Kettly Noel

Mali

Fanta kaba

36’

Théâtre Municipal 20h30

Oumaïma Manaï

Tunisie

Nitt 100 limites

30'

Théâtre Municipal 20h30

Taoufiq Izzediou

Maroc

Rev’illusion

50'

info: Interprètes : Kamal Aadissa, Fany Broyaux, Said Ait El Moumen, Taoufiq Izeddiou Production : Compagnie Anania Révolution, un grand rêve ou une illusion ? Rev’illusion , une réflexion sur les développements politiques actuels en Afrique du Nord et une recherche sur l’état d’esprit du corps. Quatre danseurs dont Taoufiq lui-même transforment la scène en une place symbolique où les conflits, les questions et la nature ambivalente du groupe changent radicalement et se manifestent les positions individuelles. « Mesdames et Messieurs est-il temps de danser pour les masses ? Ou bien le temps pour un individualisme qui a été effacé par les masses ? Ca change d’un coup le regard sur les Arabes ! Sur mon lingot d’or, je danserai avec mes chaussures militaires en or aussi … Laissez-moi danser le rire ! Permettez-moi de danser le regard ! Biographie C’est à Marrakech, sa ville natale, que Taoufiq Izeddiou se découvre une passion pour la danse contemporaine. Au fil d’une formation qu’il qualifie de « sauvage », il rencontre Bernardo Montet qui lui ouvre la scène professionnelle en 1997. Pendant huit ans, ils partageront leurs questionnements sur l’origine et sur l’identité. Parallèlement à sa carrière de danseur, Taoufiq Izeddiou signe sa première chorégraphie en 2000. L’année suivante, le solo Danse Nord le place sur la carte du monde chorégraphique. En 2003, le succès de la pièce de groupe Fina K’enti dans les communautés arabes l’incite à fonder Anania, première compagnie de danse contemporaine au Maroc, avec les chorégraphes Bouchra Ouizguen et Said Aït El Moumen. Deux ans plus tard, il crée le festival de danse On marche, et la mise en place d’un nécessaire programme de formation le décide bientôt à passer son diplôme d’État en France pour renforcer ses compétences pédagogiques. Toujours à cheval entre les deux pays, il crée des œuvres qui explorent l’hypocrisie sociale, les tensions entre tradition et modernité, entre nord et sud, et qui libèrent les corps à la faveur de la nuit. Après Cœur sans corps, Déserts désirs et Aataba, entre autres, Aaléef est sa neuvième création.

Café Ellouh 11h-12h

Performance

Rochdi Belgasmi

Tunisie

Zoufri

30'

Café Ellouh 11h-14h

Debat 3: Bilan de la plateforme Danse Dialogues Africa (DDA) 2014

Centre Culturel
El Menzah 6, 8h-14h

Michel Kiombo

Masu kaino

Catherine Nakawesa

Wekwekule

Fana Tshabalala

Between us

Hazem Header

Inside out

Karima Bledir

Point

Radhouane El Meddeb

Nos limtes

Kettly Noel

Fanta kaba

Oumaïma Manaï

Nitt 100 limites

Taoufiq Izzediou

Rev’illusion

Performance

Rochdi Belgasmi

Zoufri

Debat 3: Bilan de la plateforme Danse Dialogues Africa (DDA) 2014

Stage: Danse africaine